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Pour sauver le lièvre, étudions-le d'abord!

Dernière mise à jour : 26 févr.

Si l'on veut vraiment sauver le bossu de nos prairies et forêts, il faut commencer par mieux connaître ses habitudes, ses faiblesses et les causes de ses difficultés. C'est le message, sage, que les chasseurs de l'Arc jurassien franco-suisse martèlent pour toutes celles et ceux qui se veulent proactifs dans la défense de la biodiversité.

Interdire benoîtement la (très limitée) chasse au lièvre, pour se donner l'illusion de sauver la biodiversité par une action politique, mais sans intervenir sur les éléments qui fauchent la grande majorité des effectifs (prédation, maladies, route, pesticides), c'est... se tirer une balle dans la patte. La FCN lance donc un solennel BRAVO ! à la

Fédération Départementale des Chasseurs du Doubs

pour cette étude scientifique, qui pose des chiffres et donne des pistes. Elle a été présentée début février au 6e Congrès mondial lagomorphes (https://urlz.fr/kIuE).

OUI, LES CHASSEURS, ACTEURS ET PARTENAIRES OBLIGÉS DE LA BIODIVERSITÉ, OEUVRENT DANS LE TERRAIN. ET VOUS?

La

Fédération des chasseurs neuchâtelois

soutient l'étude de Claude Fischer, spécialiste de l'

Haute Ecole du Paysage, Ingénierie et Architecture (HEPIA)

, sur l'évolution du lièvre notamment autour de l'une des nombreuses réserves à lièvre du canton, au Val-de-Ruz. Et elle participe aux comptages pour le suivi des effectifs. Sans compter ses plantations de haies, l'entretien de biotopes et le parrainage de ruches.

A bon entendeur (à longues oreilles): rendez-vous avant ce printemps 2023 pour planter de nouvelle haies! Car comme tout le monde devrait le savoir, un paysage en mosaïque, morcelé, y a rien de tel pour nos lièvres!

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